1. La puissance du moteur

Lors de l’achat de votre moto électrique, le premier critère que vous devez prendre en compte est la puissance de son moteur. C’est un facteur qui définit les performances de votre bécane. Il détermine également le coût de l’assurance et de l’immatriculation.

Pour vérifier cette puissance électrique, vous pouvez comparer les caractéristiques de l’engin avec celles du modèle thermique. Effectivement, cela peut se faire bien que les moteurs électriques ne possèdent pas de cylindrée. Donc, si vous voulez un moteur identique aux grosses cylindrées, choisissez un moteur qui excède 11 kW.

Pour une moto électrique similaire à une moto thermique de type 125 cc, optez pour une puissance comprise entre 4 et 11 kW. Finalement, si vous préférez des caractéristiques identiques à une moto thermique de type 50 cc, tournez-vous vers une puissance de moins de 4 kW.

2. La batterie

Les motos électriques possèdent généralement des batteries de type Li-po ou Li-ion. Ce sont des batteries extrêmement performantes et qui possèdent une longue durée de vie. Leur rapport qualité-prix est aussi excellent.

Par ailleurs, lors du choix de votre bécane électrique, il est mieux de privilégier une batterie qui possède un système de contrôle électronique. Ce dernier vous permet une meilleure optimisation de la durée de vie de la batterie ainsi qu’une bonne gestion de son fonctionnement.

Sinon, il existe aussi des batteries amovibles et rechargeables pour les engins de puissance en dessous de 11 kW. Elles sont également fiables. Bref, pour une moto électrique de bonne qualité, vous pouvez jeter un œil sur Purerider. Un site spécialisé dans les scooters et motos électriques.

3. L’autonomie de la batterie

Un autre critère à tenir compte quand vous achetez votre scooter ou votre moto électrique est l’autonomie de la batterie. Celle-ci définit la distance maximale que vous pouvez parcourir sans avoir à recharger la batterie. Pour ce faire, déterminez d’abord approximativement la distance de votre trajet quotidien. Et lors du choix de votre batterie, assurez-vous que celle-ci puisse couvrir au moins cette distance.

Notez bien qu’une batterie avec une grande autonomie est susceptible de durer plus longtemps. Finalement, sachez que si vous choisissez une batterie de mauvaise qualité, sa réparation ou son remplacement peut vous coûter cher. Cela peut revenir jusqu’à la moitié du prix d’achat de l’engin. Voilà pourquoi, il vaut toujours mieux considérer la fiabilité de cette pièce avant de vous lancer dans l’acquisition de l’engin.

4. Les équipements et les accessoires

Enfin, si vous voulez conduire une moto électrique, il est important que vous considériez certains points de sécurité. Pour ce faire, tenez compte du système de freinage de l’engin. Pour une conduite sûre et sécurisée, préférez un système de freinage hydraulique à disque géré électroniquement à l’avant et à l’arrière.

Ensuite, prêtez attention à la suspension de la moto. Celle-ci varie selon chaque modèle. Notez que pour un véhicule à deux roues, la suspension hydraulique à l’avant et à l’arrière est le minimum requis. Vous pouvez juger l’amortissement pendant un test. Mis à part cela, vérifiez d’autres éléments comme les pneus, le confort du siège, le système d’éclairage et la qualité d’affichage de l’écran de contrôle.

L’origine de l’entreprise

Tout commence dans la cuisine de la mère de Davidson. Alors que Wlliam Harley et Arthur Davidson ne sont qu’à une vingtaine d’âges, ils mettent en place un prototype de bicyclette motorisée. Les deux amis poursuivent le développement de leurs idées dans le garage d’Henry Melk, un autre ami qui possède un tour d’usinage au Milwaukee. Après, le père de Davidson leur prête mains fortes en laissant à leurs dispositions son abri de jardin. C’est aussi grâce au coup de pouce des frères de Davidson, qu’ils parviennent à construire trois motocyclettes du modèle Silent Grey les deux premières années. Ils fondent officiellement l’entreprise Harley-Davidson le 28 août 1903. Les années passent et elle se développe petit à petit. Son premier atelier s’ouvre en 1906 sur l’avenue Juneau qui reste toujours son siège social. La vente de la Silent Grey Fellow à 200 $ est, pour eux, le signe d’un bon présage. En 1907, l’entreprise Harley-Davidson prend une réelle forme en désignant des responsables : Walter Davidson comme premier président de Harley-Davidson Motorisé Company, William Harley au titre d’ingénieur, Arthur Davidson au secteur commercial et enfin, William Davidson devient dirigeant de l’atelier. Ils remportent leurs premières courses en 1908 et continuent leurs recherches pour améliorer leurs moteurs. En 1970, American Machine and Foundry ou AMF achète la société et augmente la production. Malheureusement, cela entraîne une baisse de qualité. L’entreprise a fêté son centième anniversaire en 2003 au Milwaukee.

Quels sont ses modèles ?

Les lettres représentent un modèle de châssis : F pour grosse cylindrée, X pour petite, FL pour grosse avec la fourche Hydraglide et XL pour la petite avec une fourche ordinaire. La ligne Sportster débute en 1957. C’est aussi un ancien ingénieur de la compagnie qui a créé la marque Buell, Erik Buell. Cette marque a été rachetée par Harley-Davidson un peu avant les années 2000 mais malheureusement, elle disparaît en 2009. Les modèles très connus à notre époque sont surtout ceux parus à partir de 2009.

Écosse ES1 Superbike

L’Écosse Spirit 1 ou ES1 est le top 1 des motos les plus chères au monde, elle est mise à prix à 3 000 000 euros. Il explose tous les autres tarifs. Dirk Glover est aux commandes de ce projet, directeur technique de McLaren, et Andy Le Fleming. ES1 est une moto capable d’atteindre une vitesse exceptionnelle de 400 km/h. Sa conception se démarque par son carénage sur-mesure en fibre de carbone avec une modification ergonomique semblable au siège de voiture F1. Les concepteurs l’ont élaborée en partant d’un moteur conventionnel comme celui de la Suzuki GSX-R 1000. Ils ont développé une armature qui optimise au maximum la perspicacité aérodynamique.

Harley Davidson Cosmic Starship

Il est dans le top 2 des motos les plus chères, Harley-Davidson cosmic starship est vendu à 1 000 000 euros. La nouvelle couche de peinture est la cause de son prix élevé, sa couleur est unique et magnifique. Il s’agit en fait d’un V-Rod de 2002 teints dans le style Cosmic extensionalism d’Armstrong.

Dodge Tomahawk V10 Superbike

Le Dodge Tomahawk V10 Superbike est une moto monoplace créée par Mark Walters. Son montant sur le marché est de 550 000 euros

Yamaha Roadstar Némésis.

L’Yamaha Roadstar Nemesis est un modèle similaire au Harley-Davidson. Il possède une peinture spectaculaire, de grande roue arrière. Il est commercialisé à 500 000 euros.
Ecosse Titanium Series FE Ti XX
Il renferme une cylindrée de 2 409 m3 et de 225 chevaux. Il y a de quoi faire baver tous les amateurs de moto. Cette bolide affiche un prix de 266 000 euros. L’Écosse Titanium Series FE Ti XX ne dispose que de 13 exemplaires dans le monde.

Le budget, le critère le plus important

Avant d’acheter une moto, pensez au budget que vous allez allouer à votre projet. Le meilleur moyen d’y parvenir est d’établir une liste des modèles disponibles sur le marché qui vous plaisent. L’idéal est de faire un comparatif des prix. Pour cela, procédez par marque et par modèle. Sans oublier le type moteur et la puissance qui sont également des facteurs de variations de prix. Les plateformes et les sites spécialisés dans la vente de véhicules à deux roues peuvent vous faciliter la tâche.

Le choix du modèle, un critère à ne pas négliger

Puisque la moto fera partie de votre quotidien, il est important de choisir le bon modèle. Optez pour un modèle léger et confortable qui vous facilitera la conduite. Évitez les motos qui sont réservées pour les pilotes de course tels que les GT ou les modèles sportifs. Optez pour les motos intermédiaires comme les trails et les maxi-scooters qui ne nécessitent aucune expérience. Par contre, les roadsters sont de très bonnes options si vous avez l’âme d’un grand sportif.

Bonus : pensez à votre permis !

Selon la législation française, la conduite de véhicules motorisés à deux roues nécessite un permis. En effet, pour éviter les accidents routiers il faut maîtriser les codes de la route en vigueur. Avant que vous achetiez votre moto, passez votre permis. En l’occurrence un permis de catégorie A. À noter que la plupart des modèles pour les débutants exigent le permis A2.

Les accessoires lors du voyage

Il faut une bonne moto pour partir en road trip. Certaines motos bien équipées peuvent avaler des centaines de kilomètres. Il faut passer un entretien pour éviter les imprévus. Il vaut mieux préparer la moto et les accessoires à l’avance afin d’éviter de dire « si j’avais apporté une saute-vent » ou quelque chose comme cela. Vous passez à cent ou deux cents kilomètres et vous commencez à avoir mal au dos, c’est pour cela qu’il est indispensable de porter une selle confort. N’oubliez pas le coussin de selle, le rehausseur guidon et l’intercom au cas où vous voulez des instructions GPS ou écouter de la musique.

Les équipements et les bagages à porter

Tout le monde peut organiser son bagage comme il veut, mais pour un road trip en moto, il faut faire un tri. Avant de partir, assurez-vous que les bagages soient bien attachés, il faut avoir une bonne visibilité vers l’arrière, que rien ne barre le champ du rétroviseur. Certaines motos possèdent déjà une trousse à outils, mais il est quand même nécessaire de vérifier que les outils sont au complet. Il faut toujours se préparer à l’imprévisible. Pensez à porter une trousse de pharmacie et à se renseigner sur les différentes offres d’assurance de voyage.

Les types d’hébergements

Une fois arrivé à destination, il est temps de se reposer. Vous devez penser au logement qui vous attend lors du voyage ou encore pendant les escales. Le confort et le type d’hébergement dépendent de votre budget et de votre préférence. Le top est de passer son séjour dans un gîte ou dans un hôtel, mais vous pouvez aussi passer des vacances chez un habitant. Faire du camping ou du bivouac est également une bonne idée pour des vacances en équipe.

Les démarches usuelles de l’inscription aux épreuves

L’auto-école s’occupe de l’inscription des candidats à la préfecture de votre région. Vous n’avez pas à le faire vous-même, sauf si vous êtes un candidat libre. Les documents qui doivent constituer votre dossier sont entre autres, un justificatif de domicile, une pièce d’identité, une photo d’identité ou une photo signature numérique, un titre de séjour pour les étrangers, un avis médical pour les handicapés et une copie du certificat individuel de participation à la journée défense et citoyenneté (JDC) pour les moins de 25 ans. Un numéro d’enregistrement préfectoral harmonisé (NEPH) vous sert ensuite d’identifiant sur le site de l’ANTS. Il vous permettra de consulter vos résultats suite aux examens.

Les conditions nécessaires pour les catégories A et A2

En France, vous devez d’abord obtenir un permis A2 avant de pouvoir passer au permis A. Et cela, peu importe votre âge. En d’autres termes, il faut d’abord être habitué à une moto de puissance intermédiaire (permis A2). Au bout de deux ans, vous serez apte à monter une grosse cylindrée (permis A). Les conditions sur l’âge s’imposent tout de même. Il faut avoir au moins 18 ans pour demander un permis A2 et 20 ans pour un permis A. Ce dernier peut être utilisé pour toute moto de n’importe quelle puissance.

Les épreuves avec ses modifications en 2020

En principe, les épreuves sont une succession de théorie et de pratique. L’examen théorique aux motos (ETM) abordera les questions liées à la conduite, à part les codes de la route. Ainsi, l’étape du plateau consistera seulement en une série de manœuvres. La conduite en circulation durera environ 40 minutes. Maîtrisez les trajectoires, équipez-vous de tous les accessoires et équipements de sécurité d’un bon motocycliste pour ce faire. Les examinateurs sont très stricts sur ce point et en termes d’octroi de permis moto en général.

Le nettoyage

Le nettoyage de votre moto est important pour éviter que certains éléments ne soient abimés par la corrosion. Pour obtenir un nettoyage optimal, vous pouvez passer par une station de lavage. Pour une dizaine d’euros ou moins, votre deux-roues sera comme neuf. Vous pouvez également effectuer le nettoyage vous-même, dans la cours de votre demeure ou dans le jardin, et acheter des produits nettoyants pour 5 € environ. Et enfin, il est possible d’investir dans un nettoyeur à haute pression pour une centaine d’euros.

La peinture

Repeindre votre moto n’est pas toujours nécessaire et c’est un entretien qui n’a pas besoin d’être fait régulièrement. Si vous décidez de repeindre intégralement votre deux-roues, vous devrez dépenser plus de 300 €. Dans le cas où vous n’auriez besoin que de quelques retouches, il vous suffit d’acheter des stylos de peinture. Vous pouvez utiliser ces outils si vous remarquez des éclatements de peinture. Pour protéger cette dernière, vous pouvez par ailleurs utiliser des produits de traitement pour le carénage. Ils coûtent généralement entre 10 et 15 €.

Les révisions

Afin de garder votre moto loin des pannes, vous devez faire une révision régulière auprès d’un professionnel. Ces révisions vous permettent également de conserver la garantie du constructeur. Un contrôle effectué auprès d’un professionnel peut coûter entre 45 et 80 € selon les vérifications à faire. Vous aurez éventuellement besoin d’acheter des pièces de rechange dont le prix peut varier selon les éléments à remplacer et à acquérir. Dans le cas d’une révision périodique, le prix descend rarement en dessous de 150 €. En faisant certaines révisions vous-même, il vous est possible de faire des économies. Cependant, vous devrez faire attention aux manipulations que vous ferrez afin de ne pas perdre votre garantie.

Les cas d’aides possibles en cas de panne de moto

Dans le cas où la panne est identifiable (crevaison, panne d’essence, etc.), il vous suffit d’appeler un professionnel ou un proche expérimenté pour vous dépanner. Par contre, si le problème est indétectable, il est nécessaire de contacter une entreprise ou une personne possédant un véhicule capable de transporter la moto vers un garage. Vous pouvez également faire appel à votre assurance afin qu’elle puisse vous assister et vous aider à résoudre votre problème. Toutefois, en cas d’immobilisation sur l’autoroute, il est nécessaire de contacter un dépanneur via une borne d’appel d’urgence.

Le déroulement après l’appel

Après l’appel, vous êtes obligé d’attendre près de votre bécane, l’arrivée du véhicule qui va assurer l’intervention. Dans ce cas, durant l’attente, il est indispensable d’enfiler un gilet fluorescent pour signaler aux autres usagers de la route votre présence sur le côté de la route, afin d’éviter tout risque d’accident. Si c’est un camion dépanneur qui vient récupérer votre véhicule, il n’est pas impératif qu’il l’enlève immédiatement. En effet, généralement, il est accompagné d’un mécanicien qui va dans un premier temps inspecter la moto au cas où il s’agit d’un simple réglage qui peut être traité et résolu sans avoir besoin de déplacer la bécane jusqu’à un garage.

L’assistance fournie par l’assurance

Il existe beaucoup de compagnies d’assurance qui proposent une assistance dépannage-remorquage en cas d’accident ou simple panne. Cependant, il est nécessaire de vérifier les clauses du contrat si les circonstances des événements que vous avez subis sont prises en charge. En effet, la franchise kilométrique est souvent applicable à partir de 50 km au-delà de la résidence de l’assuré. De plus, une valeur maximale de prise en charge est généralement mentionnée dans le contrat et qu’il est nécessaire de connaître.

Tenir compte de la capacité de votre permis de conduire

En termes de véhicules à deux roues motorisés, vous devez disposer du permis adapté à chaque motorisation et puissance. En effet, le permis de conduire change en fonction de la puissance du scooter. Les deux roues les moins puissants proposent une motorisation de 50 m3. Pour les trajets intermédiaires, comme pour aller au travail ou l’autoroute nécessite une motorisation de 125 m3. Pour ce dernier type de motorisation, vous aurez besoin d’un permis B depuis plus de 2 années pour pouvoir circuler. Cela dit, les scooters de 50 m3 ne nécessitent qu’une attestation scolaire de sécurité routière ou ASSR ou encore un brevet de sécurité routière ou BSR pour rouler. Si vous choisissez une motorisation de plus de 125 m3, le permis A est obligatoire.

Les équipements à choisir

Avant d’acheter un scooter, veillez à bien sélectionner votre équipement. À cet effet, vérifiez d’abord les roues. Les petites roues sont bien évidemment plus légères et rendent le scooter plus maniable. Si vous optez pour les grandes roues, vous bénéficiez d’une meilleure stabilité. Pour le transport d’objets, vous aurez besoin d’un plancher plat. Dans le cas où vous achetez un deux roues d’occasion, vérifiez l’état des pièces et éventuellement le kilométrage du scooter avant de signer l’acte de vente.

Les démarches administratives à connaître pour l’achat

L’achat d’un véhicule motorisé requiert toujours un certain nombre de paperasses. Vous devez tout d’abord rédiger et signer un acte de cession avec votre vendeur. Vous y conviendrez éventuellement du prix et du mode de paiement du scooter. Prévoyez dans ce document la liste des pièces qui ne sont pas d’origine afin d’élaborer une décharge de responsabilité.